SAISON30 EN HIVER Où est Charlie ? C'est le week-end. Enfin. C'est que les cours de l'Académie commençaient à réellement devenir longs pour moi. J'ai besoin de Sujet "C'est pas d'être un bon cogneur qui compte" DudeLebowski MP 11 février 2020 à 210724 "L'important c'est de se faire cogner, mais d'aller quand même de l'avant, c'est de pouvoir encaisser sans jamais flancher, c'est comme ça qu'on gagne." Pensée pour tous les Célestin Victime de harcèlement en ligne comment réagir ? Toi moi, n'importe qui, personne ne frappe aussi fort que la vie. C'est pas d'être un bon cogneur qui compte, l'important c'est de se faire cogner et d'aller quand même de l'avant, c'est de pouvoir encaisser sans jamais, jamais flancher. C'est comme ça qu'on gagne !

Le Deal du moment Coffret Pokémon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en ... Voir le deal * Votre Identité } Fiche de Présentation Présentations Validées 2 participantsAuteurMessageJane Roasenberg5e année ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Mar 19 Aoû - 1642 .QUELQUES RPGS .1° CREPUSCULELe crépuscule teintait à peine le ciel nacré de brume lorsque notre demoiselle s'imisça au détour du feuillage foisonnant. Le parc de Poudlard semblait bien éveillé, chuchotant de mille voix les secrets microscopiques de Dame Nature. Jane releva son chemisier de flanelle blanche sur ses épaules dénudées. Il y'avait cela de plaisant aux vacances ... On pouvait se vêtir selon nos choix. Bye bye l'uniforme et bonjour aux couleurs et motifs orientaux. L'extravaguance ... Telle devait, semblait il, être la règle d'or en cette fin de vacances. Jane esquissa l'ombre d'un sourire, parcourant de ses yeux mordorés les tapis de fleurs qui embaumaient le miel et le parfum de songes. L'été ... Ah qu'il faisait bon en ce début de soirée. Le soleil entammait tout juste sa course vers l'Orient, tandis que Dame Lune devait attendre patiemment le début de son règne. Jane se mit à chantonner. Tout se prêter à la gaieté, l'insousciance ...*Je miamerais bien une Barbe à Papa moi ...*Hélas, pas de barbe à papa à l'horizon. Jane réprima cette envie, impulsive. Arf la barbe à papa, c'est comme le chocolat ... Quand ça vous tient, ça ne vous lâche pas de bonne grâce!Il faisait chaud et Jane avait résolu de faire trempette dans le lac du château. Les rives étaient désertées à cette heure. Le cadran solaire indiquait 18 heures. Elle ne disposait plus que d'une heure, le couvre feu étant à 19 heures. Les berges étaient tamisées de gazon, de reflets solaires, d'une brise légère ... Un vrai décor de carte postale. Notre petite Jane s'étendit donc sur l'herbe grasse, les yeux mi clos, savourant ce début d'été à plein poumons. Nootre fillette laissa chavirer se spetons dans l'eau tiède. La légende contait qu'un gigantesque calamar, créature abyssale, avait élu résidence dans les profondeurs. On racontait aussi que le lac passait également sous les fondations du chateau. Jane était fascinée par ses croyances superstitieuses. On ne connaitrait jamais le fin mot de l'histoire et aprés ... Des bruits de pas l'interrompirent, coupant court à ses pensées vaguabondes ...2° DOUCE SOIREELe crépuscule teintait à peine le ciel nacré de brume lorsque notre demoiselle revêtit une robe de sombre velours, cadeau de son paternel. Un hibou hululait dans le lointain, écorchant ainsi le silence noctambule qui beignait le château. conduit ses membres engourdis par la fatigue en direction de la lucarne qui scindait le mur de pierres noircies. Accoudée de cette manière, notre demoiselle pouvait entrevoir la cîme des hauts feuillages, le murmure du lac endormi, les parterres de fleurs éclos ... Dame Nature semblait s'assoupir au rythme des vaguelettes qui venaient s'échouer sur les rives du lac. Un parfum de songe, éphémère, embaumait l'air. Jane gonfla ses poumons, expirant sa fatigue au travers de ses lèvres gercées. Murmurant une douce comptine, notre fillette releva ses longs cheveux mordorés, d'une main guantée de blanc, évasive. Le château était déserté à cette heure tardive. Chacun avait gagné son dortoir, selon le reglement. Le couvre feu ne tarderait guère. Il était bientôt onze neuf heures. Dans une demi heure, tous ronfleraient, les poings fermés. Jane enfila une paire de pantoufle à la hâte, avant de dévaler les escaliers de marbre blanc, déambulant ainsi de corridors en corridors. En ce début de soirée, Jane ressentait le besoin de s'exiler, de naviguer hors du connu ... Peut être même de venir s'échouer dans un recoin de la salle des trophés. Jane esquissa l'ombre d'un sourire. La fenêtre était entrouverte et ce fut avec délicatesse qu'elle la clos de nouveau. Lasse, épuisée, Jane vint s'asseoir sur les contours d'un banc décrépi, abandonné là depuis nombre d'années ... Qui avait bien pu s'asseoir là avant elle ... Combien d efantôme avait traversé cet obstacle taillé de bois ... Quel en été l'artisan ... Autant de questions saugrenues, sans queue ni tête que notre fillette se répétaient, comme de coutume. Jane soupira. Il était encore loin le temps des cerises ... Qu'importe! Les saisons se succédaient, les unes aprés les autres, sans bel élément pour les distinguer ... Excepté le rire de son amie Gin' et l'immagination sans détours de sa comparse Lulu bien entendu ... Rien n'égalait la fraîcheur de l'enfance pour égayer les songes de notre adolescente. Jane se surprit à balancer ses jambes d'avant en arrière, distraite. D'un élan, elle les envoya promener contre un trophé de bronze qui vascilla dangereusement. Des bruits de pas résonnèrent non loin d elà, elle en était certaine désormais ... Jane souffla la bougie qu'elle venait d'allumer, plongeant la pièce dans une pénombre difficilement sondable. La porte grinça, s'entrebaillant légèrement ... Jane retint son souffle, saccadé ... Les contours d'une silhouette se dessinèrent alors ... Dehors, la lune diffusait son pâle halo de lueur blanchâtre ... Jane poussa un cri de surprise avant de plaquer sa main devant sa bouche ...Le cri avait été contenu in extremis. Se laisser aller à de semblables exclamations n’étaient guère recommandé lorsqu’on se trouvait à des mille de sa salle commune. Jane, bien qu’encore loin des rivages de la raison, avait toujours été une demoiselle des plus sages. Elle comprenait toute situation insolite d’un battement de cil et avait appris, avec l’âge, à anticiper de pareilles rencontres. Une silhouette se mouvait derrière la porte, certes, mais rien ne laissait croire que ce fut celle d’un membre du personnel. Quoique la silhouette fût haute, Jane considéra que cela n’avait rien d’anormal. Ce devait être dû à la lueur de la lune qui projetait des silhouettes difformes sur le mur de pierres noircies, telles des ombres chinoises. Notre demoiselle inspira profondément … Quand bien même ces contours inconnus auraient appartenus à un préfet quelconque, cela n’aurait guère été un problème pour Jane qui comptait deux de ses meilleures amies chez les préfets. Après tout … Que risquait elle sinon une heure de retenue barbante … Mais la peur de se faire disputer céda la place à de nouvelles anxiétés. L’élève en question lui demanderait certainement des comptes … Bien entendu, elle n’était point obligée de répondre mais cela paraîtrait sans doute louche. Et comment expliqué ce désir de solitude qu’elle avait ressentit en ce début de soirée et qui lui nouait désormais les entrailles, tel un étau d’acier au creux de son ventre ? Non, cela semblerait tout autant bizarre pour quiconque connaissait la bonne humeur et l’esprit de camaraderie de notre fillette … Mais alors quoi … Sans doute aurait elle du songer à se cacher mais elle n’en fit rien, bien trop perplexe pour permettre à ses membres endoloris le moindre bout de quelques instants, la porte bascula tout à fait et Jane cru distinguer la carrure masculine d’un élève de son âge, du moins guère plus âgé. La présence se fit sentir, imposante, dans cette pièce sombre et silencieuse. La silhouette s’immergea un peu plus dans les lieux avant de clore la porte dans un claquement insonore. Désormais, ils étaient deux dans ce recoin exilé … Elle qui souhaitait être seule, c’était manqué. Notre petite fille se surprit à s’imaginer pour quelles diverses raisons cette autre personne pouvait elle se trouver là … Comme de coutume, sa curiosité l’emportait encore loin des sentiers battus … La salle des trophées n’était pourtant pas le lieu le plus fréquenté de Poudlard, loin s’en fallait. Enfin, ce n’était pas plus son problème que la calvitie du vieux Flitwick et Jane prit parti de se taire. La grande horloge du château sonna neuf heures dans le lointain. Un bruissement agita quelques instants les feuillages et la lucarne entrouverte claqua de nouveau. Jane s’empressa d’en condamner l’accès à l’aide d’une poutre de bois qui traînait à ses pieds. Une fois le tour accompli, celle-ci se hissa sur la pointe des pieds, découvrant de ses grands yeux mordorés l’inconnu qui se trouvait désormais face à elle. C’était un garçon d’environ dix sept ans, à peine plus âgé qu’elle. Il arborait les couleurs de Poufsouffle, du moins fut ce ce qu’elle cru entrevoir dans la pénombre qui s’estompait peu à peu. Il aurait surement brisé bien des cœurs s’il n’affichait sans cesse ce regard étrange qui décourageait d’avance les plus audacieux. Jane ne connaissait point son nom, bien qu’elle l’ait déjà croisé quelques fois sans le remarquer vraiment … Ce fut d’une voix évasive qu’il s’excusa d’un mot. Notre demoiselle hocha la tête, quelque peu égarée par cette drôle de rencontre … RoasenbergPRENOM ~~> JaneAGE ~~> 15 AnsANNEE ~~> 5EmeDATE DE NAISSANCE ~~> Le 25 NovembreLIEU DE NAISSANCE ~~> Londres-Royaume-UnisORIGINE ~~> Sang-PurPHYSIQUE ~~>Voici un portrait de moi. Il date de l’année dernière. Oh, je n’ai guère changé depuis le mois de Mai. De toute façon, maman dit que je ne grandirai plus. Sorcière, plus d’excuse pour la soupe !Eh oui … Je suis plutôt mignonne. Non, vous m’aviez promis … Pas ordinaire ! Enfin si, peut être un poil mais rien de méchant. Comme beaucoup de demoiselles, je traite mes boutons d’acné en grimaçant, j’ai les épaules légèrement recourbées, un nez trop long à mon goût et un teint couleur papier chiotte. Je suis plus blanche qu’un cachet d’aspirine. Quand j’étais petite, ma mère me tartinait d’onguents magiques pour brunir ma peau du nord. Mais avec l’âge, elles perdent de leur efficacité. Mais on s’y fait à la longue. Les garçons ont grandis eux aussi et ils ne m’appellent plus grande perche en me désignant du doigt dans les escaliers. Et oui … Je ne suis pas miraculée et je vis le lot de tous mes camarades. Enfin, excepté les grosses dindes qui se pavanent avec leurs cheveux couleur de blé. Ce qu’elles peuvent m’agacer. Pour sur, elles ne sont pas ordinaires celles-ci. En revanche, j’ai un regard qui tue. Pour de bon, ce ne sont pas des blagues. A croire que Dany Brillant chantait pour moi … Non je plaisante … J’ai donc de beaux yeux sombres, légèrement bridés qui donnent à mon regard une ampleur dimensionnelle. Surtout quand je les cerne de noir. Papa n’aime pas que je me maquille. Il dit que ce n’est pas de mon âge. Attendez j’ai quinze ans quoi … Toutes mes copines se maquillent. Pfff … Comment je peux leur expliquer ça moi. Remarquez, vu comme je gigote tout le temps, ça ne tiendrait pas. Je cours de kilomètres et bam je transpire, fond de teint foutu. Je bois un grand coup de citrouille et boum, fini le rouge à lèvre. Et encore, je ne vous parle pas du mascara lorsque je me ramasse dans l’escalier et que je finis en larmes chez l’infirmière. En somme, je préfère aérer un peu mon beau visage de princesse ~~>Et voila c’est reparti … Qu’est ce que c’est que ces questions malvenues … Bon après tout pourquoi pas, mais laissez moi vous dire que vous êtes un bien drôle de lecteur et que vous seriez plus satisfait d’une interview du prince toujours été capricieuse et légèrement décalée quant au reste du monde. De plus, ce qui ne gâche rien au spectacle, j’étais très bonne comédienne. Je suis certaine que ma mère se ferrait un plaisir de vous conter mes scènes larmoyantes. Au final, je puis vous dire que j’obtenais régulièrement gain de cause. Il y’a autre chose que vous devez savoir sur moi … Non seulement je suis une petite fille comme les autres, mais en plus de cela j’ai horreur de me sentir ordinaire. Je rêve bien volontiers de mon nom écrit dans les livres d’histoires, ou bien encore de ce beau navire drapé de noir dont je vous causais tout à l’heure. Je m’imagine corsaire ou vagabond, princesse ou Charlemagne. Tout ce que vous voulez tant que ce n’est pas à la portée des autres enfants de mon âge. C’est aussi pour cette raison que je choisis Etude des moldus comme option, lorsque tous mes autres camarades se rendirent en classe de divination ou d’arithmancie. Résultat des courses … Nous ne sommes que trois pingouins durant ces heures ! Outre mon fichu caractère, je suis débordante de vitalité et de curiosité. Pour moi, la vie c’est comme un gros gâteau au chocolat. On se régale du début à la fin … Mourir d’une indigestion, ne serrait ce pas le rêve ?!Je suis également une grande sportive et véritable amatrice des jeux olympiques moldus. J’aime particulièrement ce qui a trait à la mer. L’été dernier, j’ai fait un stage de planche à voile, et croyez moi bande de gras du bide, on force sur les bras. Je suis aussi une camarade drôle et pleine d’une imagination débordante. Lorsque nous n’étions encore que des petits bébés de première année, nous nous rassemblions dans le dortoir afin de laisser libre court à notre imagination. J’inventer alors des contes merveilleux des quatre coins du monde, mimant la baleine bleue tout en gonflant mes joues rosées. Outre cela, je suis dotée d’un sens de l’équité, de la justice et de la tolérance qui ne se compte plus en bornes … Par contre je vous ai pas dit … J’ai une grave maladie Roulements de tambour … J’ai la bougeotte en permanence ! Rires … Sisi c’était drôle.HISTOIRE ~~>Bonjour à vous, cher lecteur. Mon nom est Jane Roasenberg. S’il peut vous paraître incongrue à vous, français, il semble des plus ordinaires dans mon pays natal, l’ prénom ordinaire pour une fillette des plus ordinaires en somme. Je vis en plein cœur de Londres, dans une modeste villa, prés du quartier latin. Je manie parfaitement le français, du moins à l’oral, parce qu’avec toutes ces conjugaisons … Je soufflerai mes quinze bougies le mois prochain. Autant vous dire que les préparatifs vont bon train … Quinze ans, ce n’est pas rien après tout … On quitte les douceurs de son âge pour gravir le sentier rugueux de l’adolescence … La belle affaire !Je suis fille unique mais il y’a toujours une bonne dizaine d’enfants à la maison. Laissez-moi-vous éclairer. Ma mère, Holly, est nourrice à mi temps. De plus, ma tante est une vraie pouponnière qui habite la ruelle qui fait l’angle … Donc les biberons valsent chaque matin, au lever du jour. Pas idéal pour faire la grasse mat’ mais à dire vrai je m’en réjouis plutôt. Mon père quant à lui tient un modeste commerce sur le Chemin De Traverse. On le surnomme joyeusement Gray le cuistot parce qu’il passe la majeur partie de son temps à mijoter de drôles de potions dans une marmite d’eau on me demande ce que je suis … Je ne saisis pas toujours le sens de cette question. Un jour, Oncle Jonhatan m’a expliqué que nombre de sorciers attribuaient de l’importance à ce qu’ils appellent la pureté de l’ascendance. Rendez vous compte … Je pensais que de nos jours, on ne s’arrêtait plus à de telles broutilles mais il paraît au contraire que cela doit être spécifié sur votre carte d’identité … Allons donc ! Je ne sais jamais vraiment que répondre … Je ne suis pas un crackmol, dieu merci, ni d’origine moldue puisque mes deux parents sont des sorciers … Cependant, mes grand parents du côté maternel n’étaient que simples moldus aristocratiques. Ils ont déshérité leur fille lorsqu’ils l’ont su ces bougres … Enfin bon, on s’égare … Où en étions nous ? Ah oui, mon enfance … Ce fut une enfance des plus ordinaires et je vécus les douceurs de mon âge sans trop de soucis … Quoique … Il y’a bien Baluchon, mon chimpanzé, importé des Indes par mon adorables cousin Louis, qui mourut prématurément. Et puis, si je me souviens bien, mémé Rose m’obligea à porter ces affreuses lunettes rondes durant mes deux premières années d’école. Sans compter mon dictateur de père qui me forçait à ranger ma chambre tous les lundis sans faute … Mais si on y réfléchit à deux fois, on s’apercevra sans mal que je fus une drôle de fillette bien tranquille dans son petit nid douillet. Je ne connus pas même le moindre bout d’un enterrement ou d’une séparation … Parfois, je me surprenais à échafauder des plans machiavéliques pour faire en sorte que ma vie soit plus attrayante. Je m’imaginais alors corsaire, à bord d’un beau navire drapé de noir. J’ai toujours aimé la mer. Quand j’étais plus jeune, nous partions chaque été en vacances, dans le sud de la France. L’eau y est plus chaude qu’en Angleterre, pour sûr. Nous dormions dans une cahute de pêcheur, chez mon oncle Sam, et sa française de femme, Alyson. J’étais même là pour le baptême du petiot, Oliver. Lorsqu’il était né, la légende raconte que le marmot avait les pieds palmés et que son père s’était écrié, levant les mains au ciel "Tonnerre de Brest … Il mourra en loup de mer … C’est écrit …"Personne n’y croyait vraiment mais tous faisaient mine de s’extasier devant les pieds tordus du nourrisson. Moi je rigolais bien tout de même. A l’école, c’était autre chose, ah ça oui. Je n’ai jamais été une lumière mais il y’eut des fois où mes instituteurs s’arrachaient littéralement leurs beau duvet grisonnants. Enfin bon, j’aimais lire, ce qui me maintenait tout juste en dessous de la moyenne. Pas de quoi en faire un fromage. Bien que mes bulletins scolaires ne soient pas brillantissimes, je me plaisais tout de même beaucoup dans ma nouvelle école. Le château m’apportait ce petit renouveau qui m’avait jusque là bien manqué. Je passais la plupart de mes vacances auprès de mes parents et des petits geignards, en vadrouille dans le salon. Vraiment … Je ne vois pas en quoi cela peut vous intéresser mais bon, puisque vous insistez, laissez moi continuer …Côté relationnel, je n’ai jamais eu de grands problème. Le temps était au beau fixe. J’étais une camarade extravagante et pleine de vie. En somme je n’eus guère d’ennuis avec mes petits compagnons ces quatre premières années. Je me souviens même de quelques flirts à l’occasion. Comme la plupart des filles de mon âge, je ressemblais plus à un pigeon qu’à une tourterelle avec mes longs cheveux filasses, mes quelques boutons d’acné et mes trois kilos en trop. Cependant, je ne m’en plaignais point, considérant la chance que j’avais que le sort ne m’ai point doté d’un corps de dinde. Si si, regardez bien … Il y’en a beaucoup qui se ballade dans les couloirs du château. De plus, j’avais, puis je m’admirer un poil s’il vous plaît, un magnifique regard sombre, débordant de caractère. C’était tout moi, et ce, en un seul battement des ma quatrième année, il y’eut du relâchement. La crise d’adolescence comme me le fis sagement remarquer ma mère dans chacune de ses lettres. Elle a parfois le don de m’agacer, comme beaucoup de mères semble t’il !Je manquai les cours plus souvent que de raisons, devenant de moins en moins assidue, sans qu’il n’y ait rien d’alarmant cependant. Je me disputais aussi un peu avec mon ami Raoul et perdit une belle somme en jouant à saute dragon avec des trolls. Je me repris tout juste en fin d’année et passai en cinquième année, au grand soulagement de mes voili voilo … Me revoilà sur scène … La vie plate et monotone de Melle Jane Roasenberg n’a pas fini de vous barber … A la prochaine!PARTICULARITES ~~> Un goût prononçé pour les ~~> Gentillesse, Douceur, Immagination, Drôle, ~~> Tête de mule, Gourmande, PREFEREE ~~> AstronomieMATIERE DETESTEE ~~> Métamorphose. VOUS .PRENOM ~~> LouAGE ~~> 18 AnsOU AVEZ VOUS CONNU LE FOFO ~~> Via un Top SitesCOMMENT LE TROUVEZ VOUS ~~> Cool ... AVATAR ~~> Hayden PannetièreCODE ~~> NOTE RP ~~> Hum ... Je dirais 6/10 ...Je me suis permise quelques pitits rajouts vis à vis de la fiche modèle ... Veuillez m'excuser. Je m'empresse de les ôter si cela ne vous convient pas ... Dernière édition par Jane Roasenberg le Mar 19 Aoû - 1652, édité 1 fois Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnée 7e annéeDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 Aoû - 1647 Bienvenue ! Don't Worry, Be Happy. J'empêche personne d'arranger sa fiche comme il veut, il faut juste avoir le principal =P Ta fiche est très bien & je pense que tout y part un seul truc Le code du règlement ! ^^Sinon, tu as une préférence pour ta maison ?_________________ LA HAINE n'est que le Résultat de notre indifférence. * } Jane Roasenberg5e année ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Re Mar 19 Aoû - 1654 Merci pour ce bel acceuil ... J'ai rectifié mes erreurs En ce qui concerne mon appartenance à une maison, je vous laisse le soin de choisir pour moi ... Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnée 7e annéeDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 Aoû - 1655 Le code est correct, je ta maison, j'hésite entre Poufsouffle & Gryffondor, mais je pense que tu serais mieux à ca ne te convient pas, n'hésite pas à le dire _________________ LA HAINE n'est que le Résultat de notre indifférence. * } Jane Roasenberg5e année ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Re Mar 19 Aoû - 1658 Va pour Poufsouffle ... No soucis Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnée 7e annéeDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 Aoû - 1707 Tant mieux, donc LA HAINE n'est que le Résultat de notre indifférence. * } Contenu sponsoriséSujet Re Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum * Votre Identité } Fiche de Présentation Présentations ValidéesSauter vers

avecdeux titres de circuits et six apparitions au match des étoiles avant d’avoir son premier avant-goût des séries éliminatoires, Bautista était une superstar de bonne foi., Mais son style de jeu a séduit certains observateurs et le volume de critiques manifestes a bondi lorsque, dans le match décisif 5 de la série de Division 2015 de la Ligue américaine, Bautista a ponctué un

Le compte 471 ou compte d'attente est un compte qui ne peut être utilisé que de manière provisoire. À la clôture de l'exercice, il est soldé pour permettre le calcul des comptes annuels et notamment du compte 471 ou compte d'attente est le compte qu'utilisent les professionnels de la comptabilité, lorsqu'ils ne savent pas où imputer une opération soit parce que il manque une ou plusieurs factures ;l'imputation de l'opération nécessite une décision charges ou immobilisations par exemple ;l'opération nécessite l'obtention d'informations parce que c'est un compte dit transitoire ou d'attente, il doit impérativement être soldé en fin d'exercice. Il ne pourra jamais figurer au peut-on utiliser un compte d'attente ?Quand doit-on solder un compte d'attente ?Le compte d'attente utilisé de manière exceptionnelleUtiliser un compte d'attente est très simple, au point de devenir parfois, une solution de facilité. À chaque fois qu'il faudra comptabiliser une somme mais que l'on ignore dans quel compte l'imputer, le compte 471 pourra être utilisé de manière son utilisation doit rester provisoire. Elle ne dure que le temps d'obtenir la facture ou l'information 911-5 du PCG prévoit que les opérations sont enregistrées dans les comptes dont l'intitulé correspond à leur nature ». L'imputation des opérations dans les comptes est compte bancaire d'une entreprise fait apparaître un virement pour un montant de 25 000¤ le 15 octobre. Le libellé de l'opération est vierge et le bénéficiaire n'est pas recherches, le virement concerne le fournisseur de compteComptabilisation en compte 471Virement sans bénéficiaire connuMontantDébitCréditDébitCrédit471Virement bénéficiaire inconnu25000¤512Virement bénéficiaire inconnu25000¤Cette écriture provisoire peut être modifiée directement, par réaffectation, tant que les écritures ne sont pas validées. C'est une pratique courante en l'écriture est validée, la réaffectation n'est pas possible. Il faudra alors passer une écriture complémentaire pour solder le compte le compte 471 solution 1, la réaffectationRéaffecter une écriture est relativement simple sur de nombreux logiciels comptables. Il suffit parfois de consulter le compte 471, de sélectionner l'écriture à réaffecter. Un simple clic droit permet ensuite de choisir le nouveau d'origine est ainsi transformée sans autre de compteSolde du compte 471 par réaffectation des écrituresDevenir de l'écriture provisoireSolution 1MontantDébitCréditDébitCrédit401Virement Fournisseur X factures 1 et 225000¤512Virement Fournisseur X factures 1 et 225000¤Solder le compte 471 solution 2, l'écriture de compte à compteL'écriture de compte à compte est une écriture complémentaire dans le journal des opérations diverses. Le compte 471 est alors soldé et l'imputation définitive de l'opération est de compteSolde du compte 471 compte à comptesolution 2MontantDébitCréditDébitCrédit401Rectification virement fournisseur X factures 1 et 225000¤471Rectification virement fournisseur X factures 1 et 225000¤Solder le compte 471 solution 3, la contrepassation La contrepassation de l'écriture ou extourne oblige à passer deux écritures. La première écriture consiste à annuler la première. On inverse les comptes débiteurs et créditeurs pour obtenir un solde nul dans tous les comptes mouvementés à l' bonne écriture est ensuite comptabilisée pour obtenir le bon impact de l'opération sur les la contrepassation se fait dans le journal de banque, le rapprochement des deux écritures complémentaires est obligatoire pour ne pas les retrouver dans l'état de de compteSolde du compte 471 contrepassationsolution 3 écriture 1/2MontantDébitCréditDébitCrédit512Rectification virement fournisseur X factures 1 et 225000¤471Rectification virement fournisseur X factures 1 et 225000¤Numéro de compteSolde du compte 471 contrepassationsolution 3 écriture 2/2MontantDébitCréditDébitCrédit401Rectification virement fournisseur X factures 1 et 225000¤512Rectification virement fournisseur X factures 1 et 225000¤Le compte d'attente ou compte 471 est à solder avant le bilanUn compte d'attente de plusieurs pages, soldé en fin d'exercice ou au moment du bilan engendrera des pertes de temps considérables surtout en période de bilan !. Qui se souvient avec précision des événements qui se sont passés il y a plus de six mois ?C'est pour cette raison que les comptes d'attente doivent être soldés le plus rapidement possible afin d'éviter de fastidieuses recherches dans des archives qui n'auront pas toujours été conservées.Car les opérations inscrites dans les comptes d'attente doivent obligatoirement faire l'objet d'un reclassement dans les comptes définitifs. Pas question de transférer les montants concernés dans un compte 467 sans donner une impression de bidouillage » des logiciels en font un compte hors calcul du bilan avec un message d' d'infosArticle 944-47 du PCG
Cest pas d’être un bon cogneur qui compte, l’important c’est d’se faire cogner et d’aller quand même de l’avant. 20 Jul 2021
Il n’est pas forcément aisé d’aborder Paranoid sans tomber dans les superlatifs, puisqu’il est désormais de notoriété commune que cet album a jeté les bases du heavy metal. Si Black Sabbath a inventé le son lourd et esquissé de grandes pièces lugubres et visionnaires, c’est véritablement ce deuxième disque de sabbat noir qui a érigé nombre de codes allègrement recopiés par toute une secte d’adorateurs tombés en pâmoison devant un tel déferlement de nouveautés sonores et stylistiques. En terme d’héritage, donc, il n’y a pas photo. Les cinq guitares sont amplement méritées, et on pourrait même aller plus loin plus qu’un chef d’oeuvre ou un disque culte, nous avons ici affaire à un disque fondateur et fédérateur, autant dire à un incontournable absolu de toute discothèque qui se respecte. Pourtant, dans les faits, peu nombreux seront ceux qui citeront Paranoid comme étant leur disque préféré du Sab en dehors de la sphère des metal heads beaucoup resteront encore longtemps sous le charme vénéneux et glauque de l’éponyme, d’autres préféreront la lourdeur étouffante et la percussion hallucinée de Master Of Reality, d’autres enfin reviendront principalement à Volume 4 pour sa perfection sonore, son homogénéité et la qualité de ses compositions. Dans les faits, il est indiscutable que ce numéro 2, bien que blindé des tubes habituellement retrouvés dans les best of, reste à part dans l’oeuvre du Sab’ et qu’il faut tenter de se l’approprier et de proprement le confisquer à l’adoration métallique. C’est donc ce que nous allons faire. En terme de background, pas grand chose à renseigner si ce n’est que Paranoid est à Black Sabbath ce que le II de Led Zeppelin est au I une suite logique, précoce sortie six mois à peine après l’éponyme et approfondie qui achève de poser les bases du style sabbathien. A bien y regarder, d’ailleurs, Paranoid et Led Zep II apparaissent de construction relativement similaire, notamment avec une poignée de titres introductifs à gros riffs et un morceau axé batterie en avant dernière position, et ce n’est probablement pas le fruit du hasard. Si Tony Iommi respecte alors énormément le talent et le professionnalisme de Jimmy Page, s’il ne rechigne jamais à accompagner John Bonham dans ses improbables orgies nocturnes, il avoue volontiers qu’une sorte de saine émulation s’est nouée entre le Zeppelin et le Sabbath, avec un objectif sous-entendu du côté des prolos de Birmingham - et avoué clairement par Bill Ward à l’époque parvenir à sonner plus lourd que le dirigeable plombé. Pari gagné, cela va sans dire. Quatre jours d’enregistrement sont nécessaires pour achever l’enregistrement, une éternité comparativement au premier disque qui, lui, a été torché en vingt quatre heures. Détail croustillant les quatre larrons s’étant méchamment frittés avec une bande de caïds du coin peu avant d’entrer en studio, ils accouchent de l’album en pansant leurs blessures, Iommi jouant les quatre jours durant avec un bel oeil au beurre noir. Compte tenu du succès de Black Sabbath, la même configuration est reproduite sur le nouveau disque même producteur, Rodger Brain, réduit peu ou prou à un rôle de faire valoir, même si on lui doit la curieuse accélération finale des bandes sur "War Pigs", et même lieu de villégiature, le Regent Sound Studio de Londres. Cette fois-ci, Geezer Butler change son fusil d’épaule et se fend de textes plutôt axés sur l’antimilitarisme, en tout cas prenant assez radicalement le contre-pied des orientations occultes du premier disque. Il ne s’agit pas stricto sensus d’un volte-face lié aux accusations de satanisme dont a été victime le groupe, mais plutôt d’une volonté de ne pas se laisser catégoriser dans un style donné et de prouver que l’on peut sonner heavy sans parler forcément du diable, avec toujours cette idée que le contenu thématique doit avant tout servir le riff. L’album aurait d’ailleurs dû s’appeler War Pigs, mais la chanson en question, extrêmement critique à l’égard de l’engagement militaire des Etats Unis au Vietnam, aurait pu être un frein à une lucrative tournée du Sab’ chez l’Oncle Sam, tout de moins est-ce ainsi qu’en a décidé le manager - corrupteur Jim Simpson. C’est donc Paranoid qui est choisi comme patronyme, et tant pis si l’artwork, un soldat casqué arborant un sabre recourbé et un bouclier, n’a rien à voir avec le titre. Amusant d’ailleurs d’après Iommi, à l’époque, seul Butler parmi les quatre hommes sait exactement quel est le sens du mot paranoïaque ! A ce stade, Black Sabbath ne sonne pas encore aussi grave et pesant que sur les albums suivants le détunage pratiqué par Iommi n’est que d’un demi-ton au lieu du ton et demi plus volontiers appliqué à partir de Master Of Reality. De fait, la percussion sonore, si elle s’avère stupéfiante pour l’époque, peut nous apparaître datée par rapport aux standards stoner ou heavy rock d’aujourd’hui. Ce "problème", qui n’en est pas vraiment un faut pas déconner, non plus, explique peut-être le relatif désamour à l’égard de ce disque par rapport aux deux suivants et même au précédent qui, bizarrement, offre un rendu beaucoup plus gras et écrasant. Il est vrai que pour Paranoid, Tony Iommi et Geezer Butler ont préféré capitaliser sur un son beaucoup plus incisif et tranchant, bien moins riche en pédales effets, reflétant l’agressivité plutôt que la peur. Mais si l’aspect cosmétique de Paranoid semble moins impressionnant que celui de ses illustres compagnons d’arme, le rendant peut-être moins attachant et facile d’accès dans un premier temps, le disque se rattrape allègrement dès que l’on aborde le registre de la composition, car le style de Black Sabbath éclate ici avec une ineffable classe. Riffs extraordinaires, parmi les plus étourdissants proposés par Iommi, refrains guerriers, section rythmique irréprochable, tout contribue à faire du deuxième disque du Sab’ un monument. "In the fields the bodies burning / As the war machine keeps turning / Death and hatred to mankind / Poisoning their brainwashed minds". "War Pigs", débutant par un assaut de blindés lourds au son d’une sirène hurlante, se place comme une charge implacable contre la guerre, les officiers et les politiciens, mais c’est avant tout un morceau exceptionnel. Gargantuesque collection de riffs anthologiques égrenés sans discontinuer sur près de huit minutes, le titre étonne d’abord par l’aridité de son premier couplet, soutenu quasiment a capela par les incantations grinçantes d’Ozzy Osbourne, mais dès qu’arrive le riff principal, bang ! On s’en prend plein les mirettes. Tandis que le mur guitare - basse équarrit tous les recoins qui dépassent, on reste estomaqué devant l’excellence de la batterie de Bill Ward dans ce qui apparaît comme sa prestation la plus mémorable chez Black Sabbath. Tempo légèrement flottant, puissance de feu assourdissante, respirations surhumaines, vélocité et précision des frappes hors de l’espace c’est époustouflant, au bas mot. Et que dire du jeu de guitare de Iommi, de ses décharges de cordes sournoises, de ses crissements stridents, de ses oscillations glaciales, de ses soli resserrés et percutants ? Toute la face A se place au niveau de ce monument du heavy rock 70’s, à la fois pesante, aérée, novatrice et extrêmement mélodique. Si "Planet Caravan", avec sa basse ourlée, sa voix triturée et sa magnifique partie soliste blues, marque une pause salutaire dans l’électricité menaçante, les deux autres pièces qui complètent la face marquent indéniablement les esprits. La particularité d’"Iron Man", qui, bien que n’étant pas une chanson hommage à Tony Stark, a bel et bien été inspirée d’un comic, est de malmener bille en tête nos pavillons auditifs à l’unisson Ozzy, Tony et Geezer, tous trois de concerts, délivrent avec rage de sombres menaces avant de nous massacrer au gré d’un changement de tempo vicieux. Là encore, la rythmique de Bill joue à l’élastique, ce qui donne au morceau un côté traînant, fourbe et imprévisible. On peut néanmoins regretter que les paroles concoctées par Butler ne parviennent pas à emplir complètement les temps, forçant le pauvre Madman à s'appesantir sur quelques notes avec une certaine gaucherie. Aucun reproche, en revanche, n’est à formuler à l’égard de "Paranoid", le supertube de Black Sabbath, un tube composé en à peine vingt minutes dans le but de combler l’espace vacant de la face A. Sur une ligne de basse surpuissante à peu près identique à celle de "Planet Caravan", Iommi exécute d’un seul coup son riff le plus célèbre, uppercut délivré au rythme infernal de la guitare robotique du sorcier en charge des imprécations, tandis qu’Ozzy, particulièrement inspiré, se fend d’une mélodie propre à se voir reprise par des stades entiers. Le heavy metal est véritablement né avec ce morceau, et dire qu’il s’agit, à la base, d’une quasi-improvisation ! On l’a noté, l’une des particularités d’"Iron Man" est d’être composé d’un pont central bluesy et endiablé - sans mauvaise allusion satanique - encadrant une matrice heavy rock beaucoup plus solennelle. Cette particularité se retrouve à l’identique sur chaque morceau de la face B, à l’exception notable de "Rat Salad", instrumental brossé tel une réponse au "Moby Dick" de John Bonham, magnifiant un solo de batterie tout en souplesse de Bill Ward par quelques chevauchées électriques crunchy. On ressent, à l’écoute de ce petit intermède sans prétention, toute la subtilité, le feeling, les affinités jazz et le sens inimitable de la percussion de Bill Ward, encore et toujours perçu aujourd’hui comme le parent pauvre du Black Sabbath originel. Pour le reste, c’est vraiment cette alternance entre blues rock secoué, ossature métallique et délires guitaristiques qui fait tout le sel d’une fin d’album qui, par certains aspects, se révèle même encore meilleure que son commencement. Ça commence en force avec l’imposant "Electric Funeral", l’un des titres les plus suffocants du Sab’ qui tire parti à merveille de l’utilisation de la wah-wah dans les graves, un réquisitoire glaçant contre l’arme atomique complètement asservi au couple guitare-basse d’outre-tombe. Plus chaotique, "Hand Of Doom" juxtapose plusieurs motifs typiquement sabbathiens bout à bout si le thème principal joue à cache-cache en tablant sur un contraste faible-fort / grave-aigu, la digression instrumentale nous offre, en à peine plus de deux minutes, un pur concentré de riffs métalliques d’une rare efficience, preuve de la fantastique maîtrise du Seigneur Iommi en la matière. Dernier morceau, mais non des moindres, "Faeries Wear Boots" est une pièce maîtresse pour qui veut appréhender à sa juste valeur le Sabbath des débuts. Ici le blues se voit dévoyé, perverti, torturé pour qu’il en ressorte des relents âcres et pernicieux, et le tout avec moults changements de styles, de tempos, de motifs, riffs, soli ou petites parties de batterie isolées. La richesse de ce titre est tout bonnement inépuisable, on peut l’écouter en boucle durant des plombes et se trouver encore à en découvrir des détails jusqu’ici inconnus. Quelle meilleure conclusion offrir à un album ? L’histoire retiendra de cet album qu’il s’agit, d’une part, du plus gros succès commercial de Black Sabbath et de son seul numéro un des charts anglais - avec 13 tout récemment, mais le contexte de l'industrie n'est plus du tout comparable - et d’autre part qu’il a servi de base à l’élaboration de la plupart des codes du heavy metal. Or il convient aujourd’hui d’en élargir la portée, de ne pas seulement garder les tubes de la face A, les riffs anti-blues canardés à la rotative lourde ou le jeu guitare-basse à l’unisson de "Paranoid" désormais ultra-typique de la puissance de feu du metal, mais de prendre l’album comme un tout, l’oeuvre d’un groupe alors en pleine exploration d’un son et d’un style nouveaux, proprement excité par ce qu’il est en train de coucher sur bande, et pour qui nulle entrave volontaire ne doit s’imposer. On reverra le jeu de guitare forcément limité de Tony Iommi, non plus uniquement à l’aune de ses décharges sulfureuses et glacées, mais dans une globalité et une diversité vertigineuses, faites d’inventivité matérielle, d’idées d’accords géniales, de doigtés atypiques à nul autres pareils ou de tics insaisissables disséminés aux quatre recoins du disque. On essayera d’appréhender tout ce que les bassistes, tous les bassistes sans distinction, doivent à Geezer Butler en terme de matériel, de son, de soutient rythmique, de technique pure, bends, vibratos, doigtés claquants "Iron Man", quoi et groove. On tentera surtout d’écouter avec l’attention qu’il mérite l’atypique Bill Ward derrière sa batterie, le soin apportée aux bruits de ses caisses, la façon qu’il a d’emprisonner le rythme du groupe par ses coups tout en suspension et de jouer avec les tempos, tout ce qui fait de lui un cogneur impossible à remplacer - n’est-ce pas Brad Wilk ? On s’attardera enfin sur la voix si particulière du sulfureux Ozzy, son timbre couinant et geignard, ses attaques de phrases percutantes, sa diction scandée, tout à la fois détachée et terriblement affectée, et toute la sensation d’effroi et d’horreur qu’il nous renvoie en pleine face au gré de ses invectives. On le voit bien, Paranoid est plus, bien plus qu’un album de metal c’est un disque séminal dont la portée universelle dépasse tous les clivages musicaux passés ou à venir, et l’un des piliers incontestables de toute la musique contemporaine. S’il ne vous faut qu’un disque de Black Sabbath, voir même qu’un seul disque de heavy rock dans votre discothèque, ne cherchez pas c’est celui-là qu’il vous faut, et pas un autre. Estelleanaureavait sauté de son lit dès qu'elle s'était réveillée, s'était son premier jour de botanique. Sur le chemin elle vue une fille qui était à Poufsouf. Le Deal du moment : -38% KINDERKRAFT – Draisienne Runner Galaxy Vintage Voir le deal. 27.99 €
Lorsqu'on s'habitue à donner on se sent plus utile envers les autres, on se sent riches moralement et matériellement. On habitue ainsi notre cerveau à l'abondance et au bonheur. Un jour je suivais un cours de marketing sur internet donné par le grand gourou du marketing américain Eben pagan et il a dit quelque chose qui complétement changé ma façon de voir le a dit ceci Move the free signifie en quelque sorte que lorsque vous donnez à vos clients ou à ceux avec qui vous avez à faire votre meilleur marchandise gratuitement, ils vous achèteront tout ce que vous les vendez. Et il a vendu plus de 100 millions de dollars de ses produits juste en faisant ça. Oui il donne gratuitement la meilleure marchandise et il vend 100 million de dollars. Et cela ne s'applique pas seulement au marketing mais dans la vie en général. Lorsque vous donnez aux autre plus que ce que vous les demandez, vous obtiendrez ce que vous pensez que c'est difficile et vous me demandez, C'est quoi donner plus-que ce que vous attendez de recevoir? Bien disons que vous cherchez un emploi au lieu d'aller seulement déposer vos demande d'emploi, pourquoi ne pas chercher d'abord à connaitre l'entreprise, connaitre ses problèmes et réfléchir à quelque chose qui pourra résoudre ne serai ce qu'un de ses problème? Ou mettre en place un plan qui aidera cette société à avancer? Tout ce qui les aidera à faire mieux les choses, faire plus vite que d'habitude, plus grand que les autres, plus facilement, pour mieux faire connaître leurs produits ou services, pour assurer la sécurité de leurs entreprises pour moins cher, pour mieux satisfaire ou servir leurs clients les les sociétés recherchent des hommes qui peuvent apporter quelque chose de valeur, que ce soit des services, des produits, des idées, voir des relations. Elles ont toutes une place pour vous si vous avez un plan d’action bien défini au service de leurs avantages. Réfléchissez seulement, vous trouverez sans doute quelque chose de plus à leur apporter. Faites leur n'importe quel cadeau. Et même si votre idée ne les intéresse pas, vous vous serez différencié des autres demandeurs d'emploi. Si vous travailler dans un magasin, pourquoi ne pas ajouter plus de bonus, et de cadeau pour vos clients?Si vous êtes étudient, pourquoi ne pas proposer une aide gratuite à vos supérieur?Pourquoi ne pas travailler plus d'heures que votre patron vous demande? Vous aurez bientôt une promotion. Si vous aimez votre boulot, c'est facile. Si vous ne l'aimez pas, cherchez en un autre car on n’évolue pas dans quelque chose qu’on n’aime ne pouvez pas par exemple donner à chaque homme plus que le prix du produit que vous lui faites payer. Mais vous pouvez lui donner davantage en valeur d'usage que le prix de ce que vous lui vendez. Le papier, l'encre, le temps, le prix des recherches et les autres matériaux d'un livre peuvent ne pas valoir le prix que vous avez payé pour l'acheter; mais si les idées, les informations que vous y trouverez, vous aident à réaliser un seul de vos objectif dans votre vie, vous aurez reçu plus-que ce que vous avez dépensé. Vous n'aurez pas l'impression d'avoir été trompés par ceux qui vous l'ont vendu; ils vous ont donné une grande valeur d'utilisation pour une petite valeur d'argent comptant. Ne pensez pas que vous n'avez rien à donner, car il n'y a pas que l'argent dans ce monde un simple conseil peux valoir de millions en argent comptant. Partagez vos expériences, donnez des conseils, aidez, assistez un faible et vous recevrez plus en retour. Faites un don à une association caritative, donnez des cours gratuits à des jeunes inexpérimentés, créez un blog, intégrez des communautés d'entraide, des forums, des groupes, ajoutez de la valeur pour vos clients, faites ce que vous pouvez. Donnez plus que vous attendez de recevoir et la vie sera toujours abondance pour vous. N'oubliez pas que la richesse n'a d'utilité que le plaisir qu'on a de le partager. Ce que vous partagez se multipliera et ce que vous gardez diminuera.
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